Et puis c’est l’heure du départ après une bonne et courte nuit de sommeil. En bas, il reste du monde de la veille, leur soirée n’a pas l’air d’être finie ! Notre navette, qui devait arriver à 6h15 est déjà là. Il est 5h50. Dommage pour le petit-dèj. Je sors les valises, une par une, pendant que Marin est à l’intérieur. Je vais pour re-rentrer, la porte s’est refermée derrière moi et je ne connais pas le code… Je suis coincée dehors avec le ptit kinois de la navette qui ne demande d’accélérer le mouvement. #ducon #situcontinuestuvassavoircommentjem’appelle. Je gesticule derrière la barrière en espérant que Marin me voit et m’ouvre la porte. Ça n’a pas l’air de fonctionner. Puis il sort tout sourire 3 minutes après. J’ai ma tête des grands jours, les sourcils froncés. Il me demande ce qu’il ne va pas. #rientoutvabien.

 Tout est dans la navette, on file à l’aéroport. Je mets le chrono en marche, il est 6h du matin, tout pile, on est le 10 Août 2016. On est en avance pour notre avion et pour me détendre j’englouti tout le paquet de tim-tam. Hummm c’est délicieux et d’un coup ça va vachement mieux ! Marin lui, préfère goûter un petit whisky. Il est 8h du mat', je ne vois pas le problème !

 Dans l’avion, cette fois ci, pas autant de chance que les dernière fois, on est au milieu, pas de place pour les jambes. 14h de vol, je sens que ça va être long. Mais j’ai mes fils de bracelets brésiliens, j’ai de quoi m’occuper ! Et puis on a les cachets magiques de maman. Oh c’est parti pour 3h de dodo ! C’est toujours ça de pris.